« Pour pardonner, il faut se souvenir. Non pas enfouir la blessure, l’enterrer, mais au contraire la mettre au jour, dans la lumière. Une blessure cachée s’infecte et distille son poison. Il faut qu’elle soit regardée, écoutée, pour devenir source de vie. Je témoigne qu’il n’y a pas de blessures qui ne puissent être lentement cicatrisées par l’amour. »
Tim Guénard, extrait du livre Plus fort que la haine (1999) éd : Presse de la Renaissance.